Les officiers supérieurs français de passage en centres de formation réfléchissent (premier bon point), publient (deuxième bon point) et le fruit de leurs réflexions est même disponible librement sur internet (troisième bon point).
Ainsi, les cahiers de l’EMS (pour Enseignement militaire supérieur) sont dorénavant disponibles en ligne. Ce sont les comptes-rendus de réflexions de groupe menées conjointement par les officiers du Collège interarmées de défense (CID et ex-École de guerre réformée) et du Centre des hautes études de la défense (CHEM et berceau des futurs généraux). Ils traitent des grands enjeux actuels du monde de la défense et de la stratégie.
Le numéro 1 de mars 2010 traite du « Rôle des armées : le recentrage sur le cœur de métier ? » et des « Pertinences des structures de pilotage interarmées ».
Le numéro 2 d’avril 2010 traite de la « Rupture financière : la fin d’un outil militaire complet » et des « Nouveaux engagements et privatisation : jusqu’où aller ? ».
Comme les sujets l’indiquent, et comme la lecture des propos le confirme, les préoccupations stratégiques de la partie haute de la pyramide militaire tournent autour de l’impact des réformes, de l'avenir des restructurations et des capacités permises avec des moyens financiers comptés ou remis en cause. L’heure d’une armée capable de tout faire semble belle et bien révolue. Il est donc plus que temps de réfléchir sur ce qui peut être externalisé de ce qui doit être conservé, de faire des choix qu’il ne faudra pas regretter à terme.
Le numéro 1 de mars 2010 traite du « Rôle des armées : le recentrage sur le cœur de métier ? » et des « Pertinences des structures de pilotage interarmées ».
Le numéro 2 d’avril 2010 traite de la « Rupture financière : la fin d’un outil militaire complet » et des « Nouveaux engagements et privatisation : jusqu’où aller ? ».
Comme les sujets l’indiquent, et comme la lecture des propos le confirme, les préoccupations stratégiques de la partie haute de la pyramide militaire tournent autour de l’impact des réformes, de l'avenir des restructurations et des capacités permises avec des moyens financiers comptés ou remis en cause. L’heure d’une armée capable de tout faire semble belle et bien révolue. Il est donc plus que temps de réfléchir sur ce qui peut être externalisé de ce qui doit être conservé, de faire des choix qu’il ne faudra pas regretter à terme.
Billet publié automatiquement en raison d’une courte période d’absence.
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