L’objectif des auteurs de cet article n’est pas de juger le bien-fondé des nouvelles attributions du ministère de la défense et du chef d’état-major des armées (CEMA) explicitées par un nouveau décret paru au Journal officiel du 13 septembre.
Sa publication a suscité l’émoi de la communauté de défense (ici, et là : une tribune de l’ancien CEMA Henri Bentégeat) ainsi que des pistes de réflexion (EGEA). Nous comprenons aisément qu’il puisse engendrer des débats, qu’il s’agit de ne pas évacuer, et alimenter un processus d’exaspération ou de peur.
Sa publication a suscité l’émoi de la communauté de défense (ici, et là : une tribune de l’ancien CEMA Henri Bentégeat) ainsi que des pistes de réflexion (EGEA). Nous comprenons aisément qu’il puisse engendrer des débats, qu’il s’agit de ne pas évacuer, et alimenter un processus d’exaspération ou de peur.
Le contexte de réforme (civilianisation, repyramidage, restructurations, etc.) y est propice, et il serait d’ailleurs intéressant d’en éclairer quelques aspects. Mais la question est révélatrice d’autres enjeux plus structurels que conjoncturels que nous nous proposons de présenter brièvement ici. En premier lieu, la question de l’interaction entre sphères politiques et militaires. Et en second lieu, celle de la place de l’institution et de la société militaires dans le processus politique.
La suite sur le site de l'Alliance Géostratégique (AGS)
(surtout) Stéphane Taillat / En Vérité
(un peu) Florent de Saint Victor / Mars Attaque
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pour faciliter les réponses et le suivi, merci d'utiliser, au moins, un pseudo récurrent.