Le président américain a donc décidé le déploiement d’une centaine de membres des forces armées américaines en Ouganda, tout en ayant des facilités pour opérer dans d’autres pays frontaliers d’Afrique Centrale (RDC, Centrafrique ou Soudan du Sud). A noter, que cet envoi se fait sans l’aval préalable du Congrès par un habile truchement constitutionnel qui autorise le président américain à ne pas se référer au Congrès pour un engagement ne dépassant pas (dans un premier temps, il s’en va sans dire…) les 60 jours.
Une réelle exégèse autour de la sémantique employé a aussi été déclenchée en analysant avec minutie les termes employés dans la lettre envoyé par le président au Congrès pour annoncer sa décision. En effet, il s’agit du seul document public sur lequel il est possible, à l’heure actuelle, d’appuyer ses hypothèses : les déclarations d’officiels américains ou africains à ce sujet n’étant pas légion. Que peut-on alors en dire sur les moyens employés, les objectifs poursuivis et les conséquences pour la France ?
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En complément :
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- "Ouganda, leçon N°1 : se rendre indispensable" sur Good Morning Afrika par Sonia Le Gouriellec
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1 commentaire:
Halte à ce nouvel impérialisme des USA en Afrique.
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