Pour ceux qui passent sur ce blog sans aller sur Athéna et moi (ils doivent être moins nombreux que l’inverse…), Joseph Henrotin a commenté et répondu à un de mes récents billets. J’y faisais des raccourcis entre des expérimentations anglo-saxonnes pensées pour faire face aux « techno-guérillas » et des tactiques mises en place durant la guerre d’Algérie.
Joseph Henrotin remets en perspective ces comparaisons, rappelant succinctement plusieurs différences entre les opérations des années 50, celles d’aujourd’hui et les probables de demain : la barrière de la langue, l’environnement médiatique oppressant, l’accélération du tempo des opérations, le statut de colonisation vs celui de stabilisation, etc.
Ainsi tant au niveau stratégique (ce qui est sans doute le plus fondamental d’ailleurs), opératif que tactique (à ce niveau, c’est pour moi sans doute moins flagrant), de nombreuses caractéristiques ont changé rendant caduques voire dangereuses toutes les tentatives d’application « des recettes du passé » à des problématiques contemporaines. A lire d’urgence donc pour relativiser mes propos instinctifs.
Le lecteur pourra se reporter à un de mes premiers billets où je présentais les limites d’une comparaison Algérie/Afghanistan.
Voir aussi l'article du compagnon AGS, Charles Bwele, sur les mêmes questions: une manœuvre distribuée contre l'ennemi hybride.
Joseph Henrotin remets en perspective ces comparaisons, rappelant succinctement plusieurs différences entre les opérations des années 50, celles d’aujourd’hui et les probables de demain : la barrière de la langue, l’environnement médiatique oppressant, l’accélération du tempo des opérations, le statut de colonisation vs celui de stabilisation, etc.
Ainsi tant au niveau stratégique (ce qui est sans doute le plus fondamental d’ailleurs), opératif que tactique (à ce niveau, c’est pour moi sans doute moins flagrant), de nombreuses caractéristiques ont changé rendant caduques voire dangereuses toutes les tentatives d’application « des recettes du passé » à des problématiques contemporaines. A lire d’urgence donc pour relativiser mes propos instinctifs.
Le lecteur pourra se reporter à un de mes premiers billets où je présentais les limites d’une comparaison Algérie/Afghanistan.
Voir aussi l'article du compagnon AGS, Charles Bwele, sur les mêmes questions: une manœuvre distribuée contre l'ennemi hybride.
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