J'ai décidé ce week-end de suivre les conseils avisés de notre vénérable et respectable revue stratégique DSI qui s'est muée récemment en magazine pas sérieux de critiques cinématographiques. Je suis donc allé voir dans une petite salle obscure d'un cinéma d'art et d'essais parisien le film We Are Four Lions. Qu'est ce que j'ai ri!
Ce grand moment du cinéma britannique retrace l'épopée délirante de quatre amis britanniques, épris de grandeur, qui souhaitent réussir le grand coup de leur vie en organisant l'attentat du siècle. Mais ce genre d'entreprise n'est pas si simple que cela à organiser surtout quand on découvre la brochette d'amateurs (plus ou moins fictifs) ès terrorisme.
Tous les clichés populaires à ce sujet y sont décrits de manière désopilante : la fabrication d'explosifs dans une cave, les essais à la campagne, le passage par les camps d'entraînement au Pakistan, la radicalisation par les prédications enflammées, le choix de la cible, les doutes et les incertitudes de chacun, les contre-mesures de pointe contre la surveillance, etc.
Il est encore visible dans certaines salles, courez-y. Grand moment de rigolade garantie. Pour une fois, que les choses sérieuses de la sécurité peuvent franchement prêter à sourire! En plus, il parait que c'est bon pour la résilience de nos sociétés ! C'est le pas toujours très sérieux rédac' chef de DSI qui le dit...
Il est encore visible dans certaines salles, courez-y. Grand moment de rigolade garantie. Pour une fois, que les choses sérieuses de la sécurité peuvent franchement prêter à sourire! En plus, il parait que c'est bon pour la résilience de nos sociétés ! C'est le pas toujours très sérieux rédac' chef de DSI qui le dit...
2 commentaires:
je suis bon public mais là,je n'ai rigolé que 2,3 fois!trop caricatural à mon goût,mes 2 "collégues de séance" se sont fortement ennuyés!ne payez pas plein pot pour aller le voir ou attendez la sortie en dvd mais bon chacun ses goûts!
Merci @ced pour ce commentaire qui vient à point nommé modérer mes ardeurs dans l'emphase trop souvent excessives...
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