Comme d'autres alliés de l'Alliance Géostratégique, Charles Bwele ou Benoist Bihan, je publie un article dans la dernière livraison du magazine DSI. Ce numéro comporte plusieurs articles particulièrement intéressants.
Je note la dernière partie des réflexions sur l'opératique de Benoist Bihan avec l'application aux théâtres afghans, l'état de l'art et la prospective sur la capacité Air de suppression des défenses anti-aériennes par Olivier Zajec de la CEIS, ou encore les problématiques sur le Kazakhstan.
Quant à moi, je poursuis mes réflexions sur la manière de faire la guerre et les outils mis en œuvre, en particulier en Afghanistan. Après la mise en perspective de l'emploi des metrics, c'est au jargon opérationnel otanien que je m'attelle.
Alliance reposant entre autre sur une standardisation poussée, l’OTAN coordonne et norme aussi le langage (...). Sans jamais atteindre la même logique implacable, ce langage s’apparente au novlangue, langue imaginée par l’écrivain britannique Orwell. La transposition prudente au parler otanien de remarques qui lui sont faites, permet de tirer des enseignements utiles pour éviter l’imposition d’une pensée stratégique unique.
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