lundi 11 juin 2012

L'opération Bir Hakeim avec le colonel Goya

Le colonel Goya, via son blog La Voie de l'Epée, lance l'opération Bir Hakeim. Il s'agit à l'instar de la 1ère Brigade française libre (cf. cette description sur l'excellent Theatrum Belli) de répondre de manière collaborative à l'urgence de la nécessaire réflexion et recherche d'innovation pour les forces armées françaises. Extrait de "l'ordre d'opération" (disponible ici) :
L'objet de l'opération Bir Hakeim est d'utiliser la force de réflexion rapide de la blogosphère pour contribuer modestement peut-être mais concrètement à cette urgence d'intelligence. J'appelle donc les 2.000 lecteurs qui me font l'honneur de me lire chaque jour à contribuer à cette réflexion collective sur les moyens d'augmenter la productivité de nos forces armées, par des articles (une page ou deux - une ou quelques idées argumentées, à envoyer à goyamichel2@yahoo.fr) et des commentaires constructifs. Si l'expérience réussit, la synthèse de ces réflexions fera l'objet d'une publication (dont les droits d'auteur iront aux blessés de guerre) adressée aux autorités civiles et militaires.

Que vous soyez militaires (je sais que certains passent parfois par ici), amateurs éclairés, simples citoyens, industriels du secteur, etc., n'hésitez donc pas. De ce bourgeonnement collectif devait pouvoir sortir des solutions d'adaptation aux grands défis actuels (comme ceux concernant l'armée de Terre et présentés par le colonel Goya).

Maigre contribution au débat, mon article sur la nécessité de re-réfléchir à la pertinence des régiments interarmes (cf. aussi les quelques commentaires) a été mis en perspective dans ce cadre là par le colonel Goya. Il aborde ainsi les questions de motivation des personnels (en particulier pour les commandements), de dangers de toucher encore une fois au corps social, etc.

1 commentaire:

Midship a dit…

Merci d'avoir lancé le débat ! A la lecture de vos échanges à tous les deux, je me suis surpris à comparer avec ma paroisse ... du coup j'ai écrit quelques lignes que M Goya a eu la gentillesse de publier. Vivement la suite !