Nous étions attendus, mais nous ne sommes pas venus...
Ainsi donc la France se doit d'intensifier son influence au sein de l'OTAN. Sans généraliser outre-mesure, et en essayant de regarder concrètement (influencer, OK. Mais comment ?) ce qui se fait sur certains sujets, quelques questions peuvent être posées.
Exemple dans un domaine où la France peut se prévaloir d'une réelle expérience, voire d'une certaine plus-value : les opérations aéroportées (avec les 2 modes opératoires que sont l'aérolargage et l'aéroportage ou poser d'assaut - cf. la doctrine française à ce sujet ou ce doc de l'IFRI).
Ainsi donc la France se doit d'intensifier son influence au sein de l'OTAN. Sans généraliser outre-mesure, et en essayant de regarder concrètement (influencer, OK. Mais comment ?) ce qui se fait sur certains sujets, quelques questions peuvent être posées.
Exemple dans un domaine où la France peut se prévaloir d'une réelle expérience, voire d'une certaine plus-value : les opérations aéroportées (avec les 2 modes opératoires que sont l'aérolargage et l'aéroportage ou poser d'assaut - cf. la doctrine française à ce sujet ou ce doc de l'IFRI).
Une grande orientation : influencer !
Dans ce qui est appelé aujourd'hui génériquement "le rapport Védrine", une vision de la place de la France au sein de l'OTAN et de l'Alliance atlantique (en plus de s'interroger sur les perspectives de l'Europe de la Défense) était présentée.
Les conclusions de ce rapport, avalisées pour une très large part par les autorités politiques françaises, ont servi de base pour la rédaction du Livre blanc qui a suivi. Les orientations politiques étaient alors clairement définies (cf. les citations ci-dessous).